Quand Cocksucker, rebeu barbu au regard de braise et au charisme dingue, croise DeepAndRough, beau mec ultra sexy toujours sapé skets-survêt, c’est l’explosion immédiate. Dans un parking la nuit, ambiance 100 % Citébeur, les deux lascars se retrouvent, se checkent, et direct la grosse pelle baveuse qui fait monter la température à 300°. Mains partout, voix grave qui chauffe, bites parfaites déjà dures sous le tissu. Cocksucker s’agenouille, avale la grosse queue de DeepAndRough en gorge profonde magistrale, bave, gémit, kiffe chaque centimètre. DeepAndRough guide, caresse, rend la pareille avec la même faim. Les corps se mêlent, la sueur brille sous les néons, le plaisir est partagé, authentique, viril. Facial généreux, sourires complices, respect total entre deux beaux mecs qui se sont régalés. Une pépite Citebeur comme on les aime : réalisation, acteurs magnifiques, connexion électrique, ambiance parking légendaire. Le sommet du porno beur gay français : sexy, vrai, intense et inoubliable.
Le sexy rebeu algerien Cocksucker se retrouve avec Tarek, un pote de téci discret, dans un coin trankil - pour un plan de vidange express. Les deux lascars sont chaud comme la braises leurs couilles sont pleines de jus et ils ont besoin de jouir. Lorsque Tarek sort sa grosse bite, Cocksucker est ravi : une magnifique teub dont la taille est juste parfaite pour une gorge profonde. Il vas se regaler ! Le jeune barbu se met au travail, il suce son pote avec sa technique légendaire, bien rodée, et lui donne un max de plaisir. Tarek ne va pas tarder à gicler des tonnes de sperme chaud. Direct sur le visage de son pote rebeu. Vidéo Citebeur, comme les aimes.
C'était un vendredi soir, l'air était lourd, chargé d'électricité. Cocksucker, un mec connu pour ses talents légendaires avec sa bouche et son cul, scrollait sur une appli de rencontre, cherchant un plan qui envoie du lourd. Son pseudo claquait, et sa réputation le précédait : il savait faire vibrer n'importe quel mec. Puis, bim, il matche avec DaddyXXL. Le profil du gars ? Hétéro curieux, corps athlétique mais pas bodybuildé, et une ligne qui fait saliver : « 22 cm, prêt à faire kiffer. » Cocksucker sent son cœur s'emballer. Ce soir, ça va être intense! Rendez-vous est pris chez DaddyXXL, un appart cosy mais viril, avec des lumières tamisées et une vibe qui crie « on va s'éclater ». Cocksucker pousse la porte, un sourire en coin. DaddyXXL l'attend, posé sur le canapé. La bosse est déjà là, imposante, comme une promesse. Les deux se checkent vite fait, pas besoin de blabla. L'alchimie est instantanée. Cocksucker s'assoit à côté de DaddyXXL sur le canapé, l'ambiance est déjà chaude. Il pose une main sur la cuisse du mec, remonte lentement, et s'attaque à la ceinture. Le cliquetis de la boucle résonne dans la pièce. Cocksucker défait le pantalon, déboutonne lentement, savourant le moment. Le tissu glisse, révélant un slip tendu à bloc. Il caresse la bosse, sentant la chaleur et la dureté à travers le tissu. Un sourire en coin, il tire sur l'élastique, et la bête jaillit : 22 cm, épais, déjà raide comme du marbre. Mais Cocksucker veut plus. Il se lève, baisse son jogging, dévoilant son jockstrap qui encadre son cul poilu comme une invitation. DaddyXXL, les yeux en feu, attrape du lubrifiant. Il glisse une main sur les fesses de Cocksucker, enfonce un doigt, lentement, faisant gémir son partenaire. Puis un deuxième, écartant, préparant le terrain. Cocksucker se cambre, souffle un « vas-y, j'suis prêt ». DaddyXXL aligne sa queue massive et entre, d'abord doucement, puis avec puissance. Les 22 cm dilatent le cul poilu de Cocksucker, chaque coup de reins est une vague de plaisir. Cocksucker gémit, s'agrippe au canapé, son jockstrap tendu à craquer. DaddyXXL enchaîne, le rythme est intense, le canapé tremble. Ça dure, passionné et fort. Cocksucker est au bord de la jouissance, son cul encaissant comme un pro. DaddyXXL sent la montée finale. Il se retire, attrape Cocksucker par les cheveux et le met à genoux. Quelques mouvements rapides, et une éjaculation massive éclabousse le visage de Cocksucker. Le sperme dégouline sur ses joues, son menton, ses lèvres, son regard pétillant de satisfaction.
Le rendez-vous se fait sur le parking d'une ville, cette fois c'est un militaire en permission qui a besoin de se vider les couilles. Un beau black, viril avec sa cagoule et surtout une bien grosse bite. Mais cela ne fait pas peur à Cocksucker, bien au contraire. Il va donner le meilleur de lui-même dans cette vidéo avec ses gorges profondes particulières et sa technique de succion imparable. C'est le soldat qui se rend !
Amine, 28 ans, rebeu à la peau mate, barbe soignée, et une grosse bite circoncise qui en impose, est posé dans son appart. Ce mec est discret, pas du genre à faire le show. Il veut juste se vider les couilles tranquillement, sans prise de tête. Il a filé l'adresse à Cocksucker, un gars dont on lui a parlé pour son talent légendaire. Cocksucker, un mec au corps fin, débarque avec une énergie incroyable. Ce mec est un pro de la pipe, un virtuose, le genre qui maîtrise chaque mouvement comme une science. Amine l'accueille avec un check rapide, pas de blabla. Cocksucker capte le mood direct, pas besoin de parler. Il s'approche, un sourire en coin, et mate le paquet d'Amine, déjà impressionné par ce qu'il devine. Quand le moment arrive, la grosse bite d'Amine se révèle dans toute sa splendeur : imposante, bien droite, le genre de matos qui promet du lourd. Cocksucker, en pro, prend les choses en main, ses lèvres et sa langue travaillant avec précision, faisant vibrer Amine. Ce dernier, toujours discret, se contente de quelques soupirs, kiffant en silence la maîtrise de Cocksucker. La tension monte, et Amine, dans un moment intense, lâche tout. Cocksucker encaisse une éjaculation faciale, le sperme chaud atterrissant sur sa barbe bien taillée, lui donnant une vibe encore plus chaude. Il essuie un coin de sa bouche avec un sourire satisfait.
Combien de fois t'es rentré dans un ascenseur avec un voisin mega bogoss, qui te fait bander grave. Vous deux seuls, confinés dans un espace serré, l'un proche de l'autre. Sa grosse bite à seulement quelques centimètres de ta main... Mille fois déjà t'avais grave envie de pomper ton voisin, là direct sur place, dans l'ascenseur même. Pas besoin d'aller chez toi ou chez lui. En guise de cadeau de bienvenu Andolini offre dans l'ascenseur à son nouveau voisin, le jeune beau rebeu Cocksucker, sa megabite. Dans cet espace serré et bien éclairée, Cocksucker le super pompier suce le monstre en fond de gorge et regarde le torse poilu et musclé d'Andolini et sa grosse teub d'un regard impressionné. Elle est si grosse qu'il lui manque de l'espace pour faire des mouvements de va et viens sur ces longs décimètres de la grosse queue. Une mega ejac faciale lui sera servi à la fin.
Le couz est de passage sur paris et il a qu'une envie, sortir ça grosse teub et se laisser traire en mode pacha ; un bon moment détente qu'un vrai male apprécie ! Il se laisse faire et je sent sa bite durcir et gonflé dans ma bouche ; sa grosse queue se réveil et je kiff la sensation de sentir une queue triplé de volume ! Assis, debout, il veut se faire téter la grosse teub dans plusieurs position et il adore ça ! je joue avec sa grosse queue, je lèche son gros gland, je m'imprègne de l'odeur de sa teub car j'adore ça, repartir le visage imprégné de sperme et de bite ! Mission réussie, une grosse bite de vider, pour un male soulager.
Dans la deuxième partie, Cocksucker reprend son rôle de roi des gorges profondes : bouche grande ouverte, il engloutit la queue monumentale de 23 cm encore plus profond, encore plus dur, encore plus affamé. Akim est en transe : il gémit, transpire, le regard perdu, totalement retourné par cette pipe de cité. Un pur hétéro, sucé à fond par le roi des suceurs gay, qui découvre un plaisir que sa meuf n'arrivera jamais à lui donner. La preuve qu'une pipe de mec motivé, c'est un autre monde.
Akim la Matraque, hétéro du quartier, cherche à vider les couilles et calmer son monstre de 23 cm. Il se rend dans un parking sombre et très vite croise Cocksucker, barbu algérien connu dans toute la cité pour ses pipes de légende. Et là, direct, c'est festival : gorge profonde, bruitages de ouf, bave qui coule, léchage interminable de ses décimètres de queue… Akim hallucine, il kiffe tellement qu'il lâche prise et se laisse sucer par ce lascar rebeu. La bite est tellement énorme qu'elle ne rentre meme pas dans le champ visuel de la caméra. Des heures de suce heureuse, et des centimètres de teub monstrueuse… Ce n'est que le début
Sous un soleil éclatant de midi, le bois vibrait d'une chaleur étouffante, l'air chargé d'une tension sexuelle. Cocksucker, rebeu au corps fin, peau luisante de sueur, déboula en même temps que Maxandre. Ce dernier, viril, barbe épaisse et torse velu dégoulinant, portait un short usé qui moulait sa queue massive. Leurs corps se percutèrent, lèvres s'écrasant dans un baiser vorace, langues s'entremêlant avec une passion affamée. La sueur coulait, leurs bouches se dévoraient, mélange de salive et de chaleur animale. Cocksucker plongea dans l'aisselle de Maxandre, léchant la peau salée, s'enivrant de son odeur musquée. Les mains de Maxandre, larges et viriles, empoignèrent les fesses poilues de Cocksucker, les écartant avec , ses doigts frôlant le trou chaud et palpitant. Cocksucker s'agenouilla brièvement, sa bouche avalant la bite épaisse et velue de Maxandre, juste assez pour la lubrifier de bave. Puis Maxandre le releva d'un geste sec, le plaqua face contre un arbre, l'écorce griffant la peau de Cocksucker. Les mains de Maxandre écartèrent les fesses poilues, exposant le trou serré, déjà frémissant. Il claqua sa queue massive contre les fesses, le son résonnant dans la clairière, encore et encore, avant de positionner son gland luisant à l'entrée. Sans attendre, Maxandre s'enfonça bareback, le trou de Cocksucker s'ouvra sous la pression de sa bite épaisse. Un râle échappa à Cocksucker, son corps tremblant alors que Maxandre le remplissait, centimètre par centimètre, jusqu'à ce que ses couilles velues claquent contre la peau. L'action était majestueuse : Maxandre enfonçait sa queue avec une passion intense, chaque coup de reins faisant gémir Cocksucker, ses doigts griffant l'écorce. Le trou poilu, chaud et humide, s'étirait autour de la bite, serrant à chaque retrait, amplifiant la friction brûlante. Maxandre variait le rythme, tantôt lent et profond, laissant Cocksucker sentir chaque veine de sa queue, tantôt rapide et intense, ses hanches claquant fort, faisant vibrer les fesses poilues. La sueur coulait à flots, leurs corps glissaient l'un contre l'autre, l'odeur de sexe saturant l'air. Maxandre attrapa les hanches de Cocksucker, ses ongles s'enfonçant dans la chair, et accéléra, pilonnant sans relâche. Le trou de Cocksucker, dilaté, palpitait sous l'assaut, chaque coup de boutoir envoyant des vagues de plaisir intense. Enfin, Maxandre rugit, ses couilles se contractant alors qu'il déchargeait en jets puissants, remplissant le trou de Cocksucker de sperme brûlant. Cocksucker, cambré, haletant, sentit la chaleur l'envahir, son propre corps frémissant d'une extase intense. Ils restèrent là, collés par la sueur, leurs corps luisants sous le soleil écrasant, l'écho de leur baise résonnant dans le bois.
En plein soleil de début d'après-midi, le bois était vivant, avec des rayons de lumière qui dansaient à travers les feuilles. Un mec charismatique, style barbe soignée et regard de feu, se baladait dans les sentiers. Sa réputation le précédait : il était connu dans le coin pour sucer comme un roi et pour son cul poilu, souple et rose, un vrai aimant à sensations fortes. Au détour d'un chemin, il croisa deux mecs qui captaient direct l'attention. Le premier, un Asiatique nommé Hornylondonlads, avait un corps athlétique, un sourire discret mais un regard qui promettait du lourd. Sa queue, bien calibrée, était déjà dans les légendes des lieux. Le deuxième, Maxandre, un blanc au style bad boy, cheveux en bataille et tatouages apparents, trimballait une teub massive de 20 cm, dont tout le monde parlait. Les trois se jaugèrent, l'air crépitant d'une tension brûlante. Pas besoin de plus. Ils s'éloignèrent du sentier, trouvant un coin à l'ombre d'un gros chêne, loin des regards indiscrets. L'ambiance monta vite. Le mec barbu, au centre, attira Hornylondonlads pour un baiser passionné, leurs lèvres se mêlant sous le soleil éclatant. Maxandre, pas en reste, glissa une main possessive sur ses hanches, murmurant des mots crus qui firent grimper la température. Fidèle à sa légende, il s'agenouilla dans l'herbe chaude, excité de montrer pourquoi on l'appelait le meilleur. Il s'occupa d'abord de Hornylondonlads, savourant sa queue bien tendue, puis passa à Maxandre, impressionné par les 20 cm qu'il géra avec une maîtrise experte. Les deux actifs, excités, laissaient échapper des grognements, admiratifs du talent de leur partenaire. Puis, contre l'arbre, ça devint intense. Appuyé sur l'écorce, il offrit son cul poilu, souple et rose, à Maxandre d'abord, qui le baisa avec une énergie de fou. Hornylondonlads prit la suite, faisant des mouvements précis et intenses. Le soleil tapait, la sueur coulait, et les trois mecs étaient dans leur bulle, portés par une alchimie explosive. Les bruits du bois – chants d'oiseaux, bruissement des feuilles – rendaient l'instant encore plus irréel. Quand tout retomba, les trois mecs, essoufflés, échangèrent des rires et des regards complices. Ils se rhabillèrent, laissant le bois reprendre son calme, comme si de rien n'était sous le soleil brûlant.
Dans une chambre d'hôtel plongée dans la pénombre, Maître Jalil, rebeu au corps sculpté, attendait, cagoule noire sur le visage, débardeur moulant et slip tendu par une bite impressionnante. Ses yeux perçants, visibles à travers la cagoule, brûlaient de désir. Mec chaud, bogoss algérien aux lèvres épaisses et au regard affamé, entra, prêt à se lâcher. Ils se jetèrent l'un sur l'autre, leurs bouches s'unissant dans un baiser langoureux, langues entremêlées, Jalil mordant sa lèvre, qui gémit de plaisir. Ses mains glissèrent sous le débardeur de Jalil, caressant son torse musclé, puis descendirent vers son pubis poilu, arrachant le slip pour libérer son gros zob circoncis, dur et veineux. Allongés sur le lit, il attaqua direct, sa langue léchant le gland avant d'engloutir la queue de Maître Jalil dans une pipe royale, baveuse, profonde. Sa bouche glissait, salive coulant, gémissant de plaisir. Ils s'embrassèrent encore, un baiser fiévreux, langues en bataille, tandis que leurs mains exploraient leurs corps. Maître Jalil arracha le débardeur, il vira son jogging, et les deux rebeus, à poil, frottèrent leurs corps l'un contre l'autre, peaux chaudes, muscles tendus, zobs frôlant dans une chaleur électrique. Il replongea, au niveau de la queue de Jalil, suçant à fond tout en branlant, sa main serrant la base, sa bouche avalant jusqu'au bout. Les bruits humides et ses gémissements emplissaient la pièce. Il accéléra, branlant vite, suçant fort, langue dansant sur le gland. Maître Jalil explosa, une tonne de sperme chaud giclant en jets puissants sur son visage, inondant ses lèvres, joues et menton. Le foutre dégoulinait, et il lécha le sperme, savourant son goût salé avec un sourire satisfait. La chambre sentait le sexe. Ils savaient qu'ils recommenceraient.